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La perception de la notion de temps

La perception de la notion de temps

Une question prodigieuse à se poser : le temps existerait-il vraiment ? où la réalité en face de nous, nous cacherait-t-il une vérité aussi intime qu’elle ne l’essaye de la bien dissimulée au détriment d’une découverte révolutionnaire de tout le temps. Revenons-y au XVIIème, c’est à partir de 1666, un soir, sous un arbre avec un ciel dégagé, que Newton observe la chute d’une pomme, alors se demande pourquoi la lune ne tomberait-elle pas ainsi.
Delà, nait la physique classique. C’est remarquable et hallucinant de voir que la nature, le soir de 1666, a transmis son secret à Newton. Encore plus loin, en 1905, Einstein étend la physique classique à l’infiniment petit, au coeur même de la matière avec sa relativité restreinte (dans un référentiel non soumis à une accélération fictive comme le cas non galiléen) et à l’échelle cosmique avec sa relativité générale (existence de la courbure espace temp).
Ici, si l’on constate bien que l’on est toujours dans la tendance explicative de la nature en deux dimensions différentes. La question le plus perturbatrice pour Einstein étais la lumière et c’est à partir de cette interrogation que la porte de sa nouvelle physique s’ouvre, la physique quantique.
En vérité, il a été le seul à comprendre que le temps pouvait se ralentir d’un point un autre. Son explication sur l’effet photoélectrique ou l’absorption de photon (quanta de lumière) par le matériau, lors de l’interaction avec la lumière lui a valu le prix Nobel de physique en 1921. Une physique hors norme, qui n’est plus superficielle comme l’a été avec Newton mais qui part, cette fois-ci en profondeur de la nature pour expliquer les merveilleuses lois qui régissent.
De ce point de vue, il est clair et sans équivoque que la science de façon générale soit l’alternative pour l’Homme de mieux comprendre la nature qui conditionne tout élément de la vie. C’est sans aucun doute la clé pour mieux cerner la condition principale de la vie. En ce sens, Il n’y point de science sans nature.
De quoi le temps dépend -il alors ? Le paradoxe que je pense l’on peut émettre est de se dire à partir de la révolution de la terre et celle de la rotation, la décompte en 24 heures et les 365 jours de l’année est concrète mais de façon séparée. Si les 24
heures et les 365 jours ne sont pas des dérives du même mouvement, nous avons une discordance purement claire entre le court terme et le long terme. En ce sens, le référence ou la position et la mobilité joue un rôle important dans la détermination du temps. Elle est de ce fait bien relative et non absolue.
Pour découvrir le secret sur le principe de temps, il nous va falloir d’abord prêter d’intention particulière à la nature. Car cette dernière peut nous servir une troisième porte sur le mystère de la physique. Le temps, par définition, n’est rien d’autre que l’interaction entre la vie et la nature par l’intermédiaire de l’environnement. Il faut un environnement propice à la vie sous l’ordre de la nature.
Connaissant parfaitement de la non-continuité de la vie, or toutes les parties prenantes de la vie se recyclent et n’évoluent pas sur une trajectoire infinie. Elle ne fait que se rénover dans une nouvelle dimension exactement comme le dit la courbe en cloche de Laplace Gauss.
Certaines espèces vivent plus longtemps que d’autres. Le temps est non seulement reparti de façon non uniforme sur tout point du référencie, Mais existerait aussi des parties ou le temps est encore plus anormale. Pourquoi cette inégalité ou super inégalité du temps dans l’espace ? On pourrait envisager l’idée que la nature bien qu’elle soit fondée sur le principe de l’équilibre, adapter le temps pour maintenir ses fondements (stabilité diversité cycle, équilibre…etc.).
En évidence, le temps n’existe pas pour certaine entité. Il s’agit d’une composante première au quelle le temps ne lui s’applique pas. Cette idée est redevable du fait que l’élément en question ne soit pas lié à la nature, ni à la vie. C’est sans doute en occurrence au souffle vital autrement dit l’âme. Pour survivre, il n’a nullement besoin de boire, ni de manger.
En effet, c’est l’organisme qui en détermine le besoin mais pas en lui. Il est donc en dehors du principe de la vie. La nature ne lui s’applique pas. Et de ce point de vue, le temps aussi. Plusieurs physiciens se posent la question de savoir si le temps n’existait pas.
A vrai dire, le temps n’existe pas pour certaines entités, mais l’est pour d’autre de façon relative. Encore plus étonnant, dire que le grand père d’une famille et son petit-fils ont le même âge spirituellement. C’est qui diffère, c’est l’âge de leurs organismes.
En un mot, le temps est la mainmise de la nature sur la vie. Elle est relative selon le référentiel choisi et ne s’applique que sur tous les éléments qui contribuent la vie, c’est-à-dire le système solaire et ses diverses formes, les espèces à différentes espérances de vie, le cycle de l’environnement et le temps et l’espace lui-même sont tous concernés.
Abdi-Basid ADAN

La force de la vie


Souvent, en physique, on se content de vouloir dire avoir découvert l’ensemble des forces existants dans la nature jusqu’à nos jours. Mais comment se peut-il que tant des gens soient indiffèrent à la force de la vie. Une des forces mystérieusement dissimulée et invisible dans la nature.
J’appelle donc force de la vie, cette entité contraignante pour les espèces vivantes. Rien que la vie, visiblement, elle est un équilibre qui fait entremêler complexement tas des choses. Autrement-dit pour sa perfection, elle faudrait qu’elle exerce une force sur les êtres vivants. Le hasard est conçu de façon à servir la vie. Un « allié » de la vie. Sans lui, on saurait se demander comment allait s’en sortir la vie. Elle et la nature sont bien deux entités distinctes. La vie est une force dont sa disparition pourrait laisser le vide dans la nature.
Nous connaissons parfaitement qu’une vie est un enjeu majeur pour pleins raisons, contrairement à une nature, qui propose juste des éléments minoritaires de la vie. Cela voudrait bien dire de façon empirique qu’une vie extraterrestre n’est possible que Si La force de la vie existe. Mais qu’est-ce que c’est cette force de la vie ? Chose complexe à définir.
D’abord, un exemple basique, terre à terre, l’émotion à l’égard de cinq sens, qui sont incontournablement des canaux décisifs pour convertir la force de la vie en émotion. Beaucoup des choses de la vie, nous procure le bonheur, qui n’est possible dans la plupart de temps qu’avec l’argent. L’émotion, la plus éminente est celle d’une affection pour l’autrui qui prend la forme d’une volonté de mise en association. Cette dernière se transforme quant à elle, en une deuxième volonté : celle d’assurer la descendance. Ainsi pour l’Homme aussi bien pour les animaux, les insectes et les végétaux, la structure est identique.
En d’autres termes, la vie impose à travers un long processus sa pérennité dans la nature aux vivants qui la composent. Se dire de vouloir supposer l’existence d’une vie extraterrestre, c’est d’abord imaginer, un environnement propice à la vie et des milliards d’espèces différents qui s’ingèrent indirectement entre elles.
De ce fait, cela semble affirmer, qu’il ne faut uniquement pas une espèce d’extraterrestre mais de présumer des milliards d’extraterrestres dont la force de la vie en assure un rôle majeur. Il faudrait de ce faire l’alliance entre vie et hasard d’une part et d’autre part, hasard-vie et nature pour l’existence toute simple d’une vie dans la nature. Vivre sur la lune indépendamment de la
Terre n’est jamais possible, même à moyen terme, il faudrait déplacer toute une structure
colossalement inimaginable.
De ce point de vue aussi, la considération ou la recherche de vie extraterrestre est une
illusion. Nous pouvons confirmer à travers la complexité de la force de la vie que nous sommes
à forte probabilité les seuls vivants dans l’univers et il serait d’autant plus difficile pour
l’extraterrestre de se balader dans l’univers sans la force de la vie non terrestre.
Abdi-Basid ADAN

La fausse intuition de Einstein


L’une des faits stipulés par la relativité restreint de Einstein en 1905 est celle de la remise en cause de l’existence de l’aspect temporel dans l’univers. A vrai dire la composante temporelle dans la réalité que nous percevions nous émane d’un principe simple : c’est celui du mouvement.
La Terre telle que nous la connaissons effectue deux sortes de mouvement l’une, la rotation sur elle-même et l’autre la révolution autour du soleil. Le premier est le résultat du nombre d’heure dans la journée qui est de 23h 56min et 4s (arrondie à 24 heures). Avec une vitesse de 1760 km/h, la terre nous fait voyager à travers deux temps distincts. En ce sens, le deuxième est la réalité du nombre de jour dans l’année un peu près de 365 jours, un voyage autour du soleil en chaque année à une vitesse près de 107 280 km/h.
Imaginer que la Terre effectue uniquement la rotation. Les conséquences d’une telle éventualité seraient d’un séjour sur Terre dans un même jour et par implication la constante continuelle de l’espérance de vie. En remarque générale, il faut un mouvement pour évaluer un temps. Qu’en est-il dans l’Univers ?
Depuis la naissance de l’Univers avec la théorie de Big Bang, la science et la religion attestent l’expansion sans arrêt de l’Univers. Un Univers en mouvement. De ce fait la distance entre deux galaxies ne cesse de s’agrandir de temps en temps et continue de s’éloigner à une vitesse donnée et par conséquence la possibilité de mesurer le temps entre deux galaxies, c’est-à-dire dans l’Univers est certainement possible.
Nous connaissons aussi que le soleil tourne autour de son centre dans la voie Lactée avec une vitesse près de 700 000 km/h. Encore une fois, l’aspect temps existe aussi bien dans notre galaxie.
Si la relativité restreint rejette l’existent de temps dans l’Univers, Alors elle se verra contradictoire davantage, puisque le temps existe sans doute dans le système solaire, la voie Lactée, entre deux galaxies et partout dans l’Univers. En général, elle caractérise l’existence du dynamisme. Dire que le temps n’existe pas, c’est autant dire que la réalité est utopique.
Plus encore, il faudrait que l’on distincte précisément deux types de masses
différentes : l’une consiste à une masse statique et l’autre en mouvement (instable). Il
est claire qu’une masse statistique (stable) est dépourvue d’énergie, elle est donc
immobile. Néanmoins, la masse en mouvement ou instable (ex. soleil) est celle qui
pourrait bien satisfaire la relativité restreinte : E=MC2 (1), contrairement à la masse
statistique (stable). Dans l’équation (1), la masse en question n’est pas du tout
spécifiée, c’est donc une erreur d’amalgame de la notion de masse en rapport à la
mobilité.
Or, l’énergie avec laquelle une masse est en mouvement subit une
décroissance exponentielle lorsque son énergie n’est plus mise au service, c’est-àdire
à l’instant où l’énergie n’est plus fonctionnelle, l’accumulation en sa masse se
transforme en une inertie qui décroît au cours du temps. La sous équation que l’on
peut déduire s’annonce en effet, comme suit :
Im=e-E=e-mc²
D’où : E=-ln(Im)
Avec 𝐼𝑚 ∶ 𝑖𝑛𝑒𝑟𝑡𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑒𝑛 𝑚𝑜𝑢𝑣𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 (𝑖𝑛𝑠𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒), 𝐸: é𝑛𝑒𝑟𝑔𝑖𝑒.
Abdi-Basid ADAN

Industrialisation dans les pays en voie de development

Industrialisation dans les pays en voie de development

Solow dans sa modélisation éminente, le facteur pionnier de son modèle empirique de la croissance économique était en principe celui du progrès technique auquel le capital humain constitue la clé première du progrès techniques.

Dans la littérature, une pluralité des variables sont considérées pour représenter le capital humain. Notamment, dans ce sens, le taux de scolarisation Brut, taux d’alphabétisation, Taux de fréquentation…etc. sont couramment considérés.

De mon point de vue, le capital humain est tout simplement la solution première dont nécessiterait une croissance économique et soutenue en Afrique. Or la négligence de ce paramètre dans le processus de la réalisation de la politique économique d’un pays en voie développement s’avérait incompatible à l’égard des objectifs prédéfinis. Il faudrait davantage d’investissement dans une voie prometteuse du secteur de l’éducation : une priorité primordiale pour un pays en voie développement. Il ne suffit pas de constructions des unités scolaires dans les différents régions et départements, mais d’abord de définir un modèle de la préservation de la qualité d’enseignement à l’échelle nationale pour chaque pays en voie de dévelopment.

Pour ce faire, il conviendrait sans équivoque de définir un indice de connaissance élémentaire (ICE) qui prend en compte spécifiquement chaque discipline en mettant en oeuvre un rapport entre la part de la science que l’on maitrise sur la part de la même discipline que l’on ignore. Pour y arriver, il faudrait alors graduer sur une barre de 100 toute discipline et actualisé cet indice à court terme pour pouvoir évaluer son évolution pour chaque individu et dans chaque discipline donnée.
Le système de la reconnaissance par diplôme des niveaux ou de l’expertise acquis par un individu en Afrique n’est plus adéquat, il nous faut désormais la considération d’un nouvel indicateur beaucoup plus robuste à l’échelle continentale, qui contribuerait essentiellement à l’industrialisation des pays africains à court terme.

Il n’est pas étonnant de voir aussi l’impact de l’influence culturelle étrangère sur les nouvelles générations. En allusion à la culture américaine qui perfore les idées, les
intentions, les buts à long terme de chaque génération et de chaque individu. Il semble
que l’on soit imprudent aux effets défavorables sur le taux de réussite scolaire dans
les pays infectés. En ces termes, il nous faut également mesurer la variable culturelle
sur une barre de 100% et parvenir à quantifier l’intensité de cette influence dans une
société donnée.

Il est vraisemblable que l’on soit amené à identifier une relation monotone et
croissante entre le taux d’échec de scolarisation et la variable culturelle étrangère,
c’est-à-dire, plus une culture étrangère s’impose face à la culture locale et plus le taux
de réussite scolaire se verra en baisse et indirectement d’une pression haussière sur
le taux de chômage et par conséquent défavorable pour la croissance économique
elle-même des pays victimes culturellement. Attention, il est important de reconnaitre
les effets négatifs sur l’éducation, sur la croissance de la force culturelle étrangère
dans un pays destinataire.

Courbe culture étrangère et échec scolaire
Il serait possible d’observer ces phénomènes à partir des données concrètes et de
constater une corrélation assez importante entre le taux d’échec scolaire et la variable
culture étrangère. D’autre part une corrélation négative entre le taux de croissance et
la variable culturelle .

Abdi-Basid ADAN

Analyse des Données Qualitatives (ADQ)

Analyse des Données Qualitatives (ADQ)

 Du point de vue économétrique :

Sur le plan économétrique, l’analyse de la variable qualitative (catégorielle ou nominale) s’opère de deux façons : soit il consiste de la considérée et de l’appréhendée comme étant une variable endogène, soit bien évidement de conserver comme une variable exogène et de l’étudiée dans un modèle de l’économétrie qualitative. A cela s’ajoute la possibilité d’analyser le lien entre deux variables qualitatives par le biais de test de Chi-deux d’indépendance (surtout à ne pas confondre avec le test de Chi-deux d’adéquation).

Autre par ailleurs, les modèles de l’économétrie qualitative sont divers et certains peuvent s’avérer très complexes qu’ils ne le sont d’ailleurs. Citons quelques-unes à titre illustrative du plus simples aux plus complexes : le modèle Probit binominal, Logit binominal, Gombit, Tobit simple, Tobit généralisé de type I,II,III,IV,V, Tobit à double censures, Tobit à censure multiples (tronqué ou limité), Heckit...etc. La structure de données, bien que dynamique sur la composante temporelle, peut varier selon chaque observation et prend dans ce cas la forme de données en panel. Nous allons expliciter dans la section précédente quelques principes de ces modèles.

Pour en savoir sur la nature du modèle que l’on a à faire, on peut facilement cerner selon le domaine de définition de la fonction mais aussi des modalités pourvues par la variable qualitative endogène. Ce sont des variables, qui très souvent dérivent des enquêtes portant sur un caractère d’appréciation, d’avis, de satisfaction. …etc. D’autres peuvent être calculées et non observées autant que telles. Leurs études sont aussi indispensables au même pied d’égalité que ceux quantitatives pour réaliser des efforts significatifs dans un sens précis.

La simultanéité d’une variable endogène qualitative expliquée par une autre variable exogène qualitative est certainement possible. Pour en étudier dans un cas pareil, il va falloir tenir compte d’une des modalités de la variable tout en réservant les autres pour en servir de références dans la signification des résultats obtenus autrement dit du coefficient estimé. Quant à la variable endogène qualitative, elle est présentée en termes de probabilité. Pour en parvenir, il suffit une variable continue dite latente qui aura pour objet de faciliter le calcul en termes de probabilité des
modalités de la variable endogène. Une probabilité positive est en effet synonyme d’un nombre croissant de chance. Il est éminent de constater d’autre part la convergence de la solution après itérations dans les cas aussi bien concave que convexe.

Au-delà de la significativité par variable prédicteur, la significativité globale ou encore l’adéquation du modèle est une notion d’appréciation sur la conception du modèle. Ainsi, l’indicateur de coefficient de détermination de Mc Fadden et Hekman dite aussi pseudo R-square porte un jugement sur la qualité de l’ajustement du modèle. Autrement-dit le pouvoir explicative ou la part de la fluctuation expliquée par les variables retenues dans le modèle. D’autre part, le pourcentage restant est généralement moins de 50% et correspond aux variables pertinentes non prise en compte. Le test de Hosmer Lemeshow également va dans le même sens sur la qualité de l’ajustement.

Effectivement, c’est par les effets marginaux que l’on connait plus sur l’impact de chaque variable introduite dans le modèle. Les estimateurs obtenus donnent une idée sur la nature de l’influence de la variable exogène sur l’endogène. En principe, on reconnait qu’il existe une difficulté au niveau de l’interprétation des modalités de la variable explicative. Il convient alors de mieux se fixer une modalité comme référence et d’interpréter en comparant avec celles qui servent de références dans l’analyse.
La plupart des cas, le choix de la modélisation entre Logit, Gombit (ou valeur extrême) et Probit se fait avec le pouvoir prédictive du modèle. Le meilleur d’entre eux sera retenu pour la modélisation finale.


 Du point de vue statistique :

En statistique, il existe une variété des procédées d’analyses univariés et multivariées parmi lesquelles la famille des méthodes factorielles : l’analyse factorielle des correspondances, l’analyse des correspondances multiples, l’analyse factorielle multiples, l’analyse factorielle des données mixtes. Dans certains de ces procédés, elle pourrait concerner aussi bien les variables qualitatives et quantitatives, on évoque alors une analyse mixte des variables.

Par ailleurs, d’autres techniques étudient le lien entre variables nominales et mixtes. Il s’agit en occurrence à titre d’exemple le test de Chi-deux, le coefficient de Cramer Rao, le rapport de corrélation, l’analyse de la variance (ANOVA)…etc.

Analyser statistiquement les variables qualitatives, c’est d’effectuer la même opération vue en économétrie. Autrement-dit faire en sorte que chaque modalité soit une nouvelle variable. C’est pourquoi on parle dans certains études l’existence d’un tableau disjonctif complet ou tableau de Burt. Par ailleurs, la dénomination correspondance fait référence à la liaison entre les variables nominales. La recherche des axes exprimant plus de sens aux données est le dénominateur commun de tous les méthodes factorielles. C’est plutôt en Analyse des Correspondances Multiples que l’on constate une perte massive d’information et donc la nécessité de prendre certains résultats avec précaution.

Les principes de l’analyse factorielle des correspondances, comme le nom l’indique permet de mettre évidence les correspondances entre deux variables qualitatives. En d’autres termes, la liaison dont les modalités qui interviennent et surtout d’identifier la nature de la liaison qui peut être attractive,

répulsive ou indépendant. En ce sens, c’est une méthode exploratoire, descriptive de données, établie par Benzecri dans les années 70. L’idée est de traduire la proximité des modalités comme une liaison entre les variables et surtout de saisir comme un profil identique pour les individus auxquelles elles décrivent.

A la différence, l’analyse multiples des correspondances est une généralisation de l’analyse factorielle des correspondances, qui lui-même est un double Analyse en Composantes Principales sur d’une part le profil ligne et d’autre le profil colonne dans un tableau de contingence. Autre aspect de distinction est qu’en analyse factorielle simple, le tableau de brut n’est pas étudié directement, cela risquerait de s’interpréter comme des écarts entre les lignes et les colonnes. Il est aussi important, lors de l’interprétation, d’éviter les modalités à faible effectifs marginaux de peur qu’il influence les contributions des autres.

En analyse discriminant, il requiert la présence d’une variable qualitative avec plusieurs variables quantitatives. Le principe est de mettre en place une combinaison linéaire des variables quantitatives séparant au mieux la population étudiée. La fonction discriminante peut s’obtenir à l’aide de la régression linéaire multiple. Selon un seuil et les modalités de la variable qualitative, on détermine les points individus mal placé. L’idéale est qu’il nécessite davantage d’un minimum de nombre individu mal placé. Pour cela, il faudrait penser à inclure d’autre variable dans la régression et de répéter à plusieurs itérative. La particularité résidant dans l’analyse discriminant est qu’elle est à part sa fonction exploratoire, une méthode décisionnelle.


 Du point de vue de la classification hiérarchique :

Sur le point de vue de la classification hiérarchique ascendante ou descendance, la mise en place est rendue possible par des multitudes algorithmes de calculs de distance métrique, parmi lesquelles la méthode de Manhattan, distance pondérée, Ward…etc. L’idée étant de réduire le nombre de classe par itération en regroupant celle qui se ressemblent ou celle dont la dissimilarité est minimale (selon l’indice d’agrégation). En d’autres termes, on cherche à minimiser la variance intra classe. Ce partitionnement dérive de la matrice de distance dans un espace de R puissance nombre de variable. Les profils identiques montrent les individus ayant la même préférence à l’égard d’un choix donné ou le même profil pour une caractéristique des individus recherchée.
Abdi-Basid ADAN

La Technologie des Génies ou Ancienne civilisation?

La Technologie des Génies ou Ancienne civilisation?

L’idée selon laquelle Darwin avance ses argument est tout simplement illusoire, car en effet, dans sa formulation, il a mentionner quelque part, de mener des recherches sur les os pour appuyés ses postulat. 

Cela me fait mal de voir une telle traduction comme conjoncture ou fait véridiques dans le monde scientifique. En dépit de quoi, je démontrerais plus tard le non fondement des théories de Darwin sur la lignée humaine.

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Les grands puissances de XXI iémes siècles, tous dans la course voire dans la passion de comprendre et de percer le savoir faire des travaux des génies dont leurs conceptions sont inexplicables.

En effet, celui-ci dépasse largement, la connaissance des humains en matière de science, de recherches ou de technologie.

Saisir ces œuvres d'arts semble pas impossible, mais reste toujours une question de civilisation basé soit sur l'approfondissement exponentielle de la recherche . 

Ces appareils connus sous les dénominations avec adjectif VIMANA:

A quoi ressemble-t-il?

Visiblement différent des ogives des objets extraterrestres ( OVNIS):







Que peuvent-ils réaliser?

Ils ont la possibilités de mener des manœuvres d’envergure et d'ampleur considérable decritent ci dessous:

  • Paroksha : D'après le "Meghotpatthi-prakarana", ou la science de la naissance des nuages, en entrant le second dans les couches nuageuses de l'été, et en y attirant l'énergie avec le shaktyaakarshana darpana ou mirroir de force d'attraction dans le Vimana, et en l'appliquant au parivesha ou halo du Vimana, une force paralysante est créée, et les Vimanas opposants sont paralysées et mis hors d'action.
  • Aparoksha : D'après le "Shakti-tantra," par projection du rayon de lumière Rohinee, les choses en face du Vimana sont rendues visibles. 
  • Viroopa Karena : Comme cité dans le "Dhooma Prakarana," en produisant le 32ème type de fumée grâce au mécanisme, et en le chargeant avec la lumière des vagues de chaleur du ciel, et en le projetant par le tube padmaka chakra vers le bhyravee enduit d'huile Vyroopya-darpana au sommet du Vimana, et en tournoyant avec le 32ème type de vitesse, une forme très féroce et terrifiante du Vimana émergera, causant une expression de peur des spectateurs. 
  • Roopaantara : Comme indiqué dans le "Tylaprakarana," en préparant des huiles griddhrajihwaa, kumbhinee, et kaakajangha et en enduisant le mirroir déformant dans le Vimana avec elles, y appliquant le 19ème type de fumée et le chargeant avec le kuntinee shakti dans le Vimana, un changement en lion, tigre, rhinocéros, serpent, montagne, rivière apparaîtra et étonnera et troublera les observateurs. 
  • Saarpa-Gamana : En attirant le dandavaktra et les autres 7 forces de l'air, et en se joignant aux rayons solaires, le passant au travers du centre zig-zagguant du Vimana, et en tournant le bouton, le Vimana aura une mouvement zig-zagguant comme un serpent. 
  • Roopaakarshana : Utiliser le yantra photographique dans le Vimana pour obtenir une vue télévision de choses à l'intérieur d'un avion ennemi. 
  • Kriyaagrahana : En tournant la clé à la base de l'Imana, une couverture blanche apparaît. Enélectrifiant les 3 acides de la partie Nord-Est du Vimana, et en les soumettant aux 7 types de rayons solaires, et en passant la force résultante dans le tube mirroir Thrisheersha... toutes les activités se déroulant en-dessous au sol, seront projetées sur l'écran. 

D'autant plus, ces appareils ont capable de changer la structure moléculaire des code de l'ADN en introduisant une nouvelle structure ou information génétique capable de déformer l’espèce naturelles en état standard.


Existe-il de nos jours?

Oui, caché dans des grottes en Asie et dans l’accessibilité peut être dangereuse, suite à la disparition des soldats américain en mission dans des régions montagneux en Afghanistan.


Hypothèses probable, le teleportage hors de l'espace connu par l'homme ou de système solaire.






Philosophie de l'âme





Attachons-nous cette fois-ci aux principes purs et simples de l’âme ?

Il est de nature évident qu’il est un sujet relevant du domaine métaphysique, une thématique assez complexe que nulle la science ne semble l’expliquer. En effet, l’idée directrice de l’âme se rapporte sans aucun doute à celui de la vie, en ce sens au battement du cœur, puis à la respiration, deux grands indicateurs de l’être vivant.

En s’y intéressant de plus près, on remarque qu’il s’agit d’une énergie parfaite qui semble animer l’ensemble du corps. Une autosuffisance inestimable en elle.  Une puissance inépuisable. Toutefois, voué à un départ obligatoire de ce monde après un séjour qui varie d’un individu ou d’une espèce à l’autre, bien distinct en heure, en jours, en année, en siècles…etc.

Un corps et une âme pour former l’Homme, deux principes à l’aboutissement d’une nouvelle suite. Il est usage d’en rappeler qu’il faudrait toujours deux fondements en rapport pour attester une stabilité (fonctionnement)  quelconque dans la nature, comme l’attraction gravitationnelle et la sphéricité de la Terre pour l’équilibre à sa surface; l’expiration et l’inspiration pour la respiration, le frottement et l’oxygène pour le feu, le poids et la poussé d’Archimède…etc. 

Absolument, on en a appris grâce à la science, suite à la fécondation ou la fusion des informations des gamètes pour la finalité de converger vers un embryon, au cours de 9 mois de la création de l’Homme.  On ne parvient guère à clarifier le concept de l’âme dans cette phase cruciale pour la compréhension de cette dernière.

En réalité, la fusion des informations génétiques ne peut permettre  la formation d’autres cellules ou encore un organisme, mais pas en évidence un esprit ou une âme.
Nécessairement, il existerait, donc une étape primordiale  pour la conception spirituelle lors de celui de l’organisme. Biens que les cellules ne suffisent pas à former un Homme, en ce sens en l’absence d’une composante vitale à sa création qui n’est rien d’autre que  l’âme.

Aussi mystérieuse qu’elle l’est, mais alors d’où viens-t-elle et qu’elle est son histoire ?

A ce jour, il n’existerait aucune information prouvable sur la création de l’âme. En dépit, cet esprit ne se rappelle nulle guère de sa période de préexistence avant l’Homme. Son histoire semble aboutir bien après la naissance.

Il y’a comme même une anecdote entre ‘esprit et intelligence’. L’intelligence est plutôt organique, mais l’esprit intangible se sert pour combler à sa fin. En terme plus claire, il  représente à la fois pour lui, une source de traitement de données visuelles, audio, odorat, sens, …etc., mais aussi de stockages d’informations sous forme de souvenirs, de rappelles, de récitation…etc. Alors, cela suppose bien, que l’esprit se sert bien de son système de traitement d’information, mais pas autant celui de stockage, c’est plutôt avec le temps que cette capacité dévient opérationnelle.

Il est évident qu’un enfant pleure suite à une perturbation face à une force supérieure étrangère. Malgré cet avantage, une fois mature, l’Homme ne se rappelle plus rien de ses premiers jours, semaines, mois et années.

En ce sens, l’âme ne se souvient de rien de son passé, ni d’ailleurs, du processus de la formation de l’embryon au fœtus, …etc.    Enfermer dans un corps, il est le gérant absolue de l’organisme. En quelque sorte son propre jungle. Il arrive parfois, que l’Homme lui-même n’arrive point à s’auto comprendre, la raison pour laquelle souvent certaines personnes ont recours aux psys. Elle est certainement due aux informations de stockages que l’individu a su réaliser sans faire attention.



Cependant, que pouvons-nous connaitre d’avantage sur lui ?

Il est presque palpable de persuader que la quête de l’âme laissera éclaircir sur la véracité par justesse recélée de l’Homme. L’âme une fois en dehors de sa carcasse, ne mérite plus de séjour sur cette Terre, en effet, le temps de désintégration du corps est arrivé, pour l’âme ne se reste un nouvel départ, alors cela semble raisonnable de solliciter l’’idée de l’accueil vers un autre espace distinct de ce présent.

Tout comme, l’arrivé dans ce monde, l’esprit écroué dans un corps est accueilli par une famille ou autrui. Cet espace lui semble inconnu et c’est au fur et à mesure, qu’il apprend à découvrir c’est que vraiment l’ici-bas.

Par la, un premier concept intuitif peut se déduire: Avec conviction, l’âme dans un corps assure la vie d’ici selon un terme (séjour) quelconque. Il n’en est pas exclu lors du sommeil, bien que l’inconscient règne dans l’esprit, l’homme continue à respirer et dès la encore un signe fort d’un corps en vie.

Les philosophes le dénomment l’instinct de vie, cette volonté de vivre constamment et de ne pas vouloir mourir. En réalité, c’est après avoir pris connaissance de la vie sur Terre, à travers les diverses sensations que l’âme s’attache beaucoup plus à régner dans ce monde aux formes et aux couleurs variés, assurer sa survie pour toujours. L’une de raison pour laquelle d’ailleurs,  elle éviterait de la quitter.

Un autre point remarquable est que les esprits s’accouplent, à l’inverse des anges.  Les âmes réagissent à travers le corps, et non pas par elle-même. Dans ce cas précis, nous pouvons désigner ce monde, comme le monde de carcasse ou de corps, contrairement à celui des âmes.



Existerait-il une vie après la mort ?

Dans cette vie, les âmes sont encloses dans un corps, que nous l’avions précédemment désigné la vie d’ici-bas comme  la vie corporelle. Il est sans doute irréfutable de voir une réalité qui fait souvent peur : celui de voir le corps vieillir avec le temps. En ce sens, le corps évolue avec le temps. L’organisme a connu sa création dans ce monde et saura sa fin aussi,  pour en devenir de la poussière. Dès la, il s’agit d’entrevoir qu’il est bien question d’une vie selon un terme fixe et indirectement liée au corps. Il n’en est point pour un séjour propre à  l’âme.

Son histoire est abstrait, il vient spontanément jouer un rôle vital dans le corps lors la formation de fœtus. Ceci spécule sur la possibilité certaine d’une autre vie réservé spécialement pour l’âme.

Quelle est ses particularités en dehors de ceux que nous venons d’évoquer?
 Parmi les créatures surnaturelles, les anges, les âmes, les diables et les djinns ont tous plusieurs points communs et divergents. En ce qui concerne, pour les âmes, celles-ci sont vouées à un terme réduit à gouter la mort par rapport aux autres. Ainsi, ils existeraient une différence entre l’âme de l’Homme et celui des autres créatures sur terre comme les animaux, les végétaux…etc.








Voyons voir ceux que devisent les autres sources ?
L’une des sources, la plus convaincante de la création de l’homme dans sa phase microscopique est mentionnée à plusieurs reprises dans le coran datant de septièmes siècles, comme rapportent ces versets :

« [72] Une fois que Je lui aurai donné sa forme définitive et l’aurai animé de Mon souffle, vous vous prosternerez devant lui. » 38. Sourate Sâd (Sâd).

« [7] C’est Lui qui a créé toute chose à la perfection et qui a instauré la création de l’homme à partir de l’argile ; [8] puis d’un vil liquide Il a tiré sa descendance ; [9] puis Il lui a donné une forme harmonieuse et a insufflé en lui de Son Esprit, vous dotant ainsi de l’ouïe, de la vue et de l’intelligence. Mais il est rare que vous Lui témoigniez votre reconnaissance ! » 32. Sourate de la Prosternation (As-Sajda).
                          
En islam l’âme est insufflée dans le corps humain à 120 jours à partir de sa conception. Dieu envoie l’ange pour insuffler l’âme dans l’embryon conformément à ce qui a été rapporté dans un récit authentique d’après le compagnon AbdAllah ibn Massoud : « le Messager le très véridique nous a dit que l’un de vous est constitué dans l’utérus de sa mère pendant 40 jours. Et puis, il se transforme en caillot de sang pendant le même laps de temps. Et puis il devient un fœtus pendant le même laps de temps. Et puis on envoie l’ange pour lui insuffler une âme et l’on donne à l’ange l’ordre d’écrire quatre mots concernant sa subsistance, le terme de sa vie, son œuvre et son sort : sera-t-il heureux ou malheureux. » (Hadith authentique rapporté par l’imam Bukhâri et l’imam Mouslim).

Dès lors, qu'en est-il de l'âme face à l'évènement de la mort, si celui-ci ne consiste de se séparer du corps? Dans ce cas, l'âme est-elle immortelle?



Abdi-Basid ADAN, 09,2017

Les Lois de Probabilités

Les Lois de Probabilités

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Comprendre une loi,
C'est de saisir en elle,
Comme étant une règle de droit,
Écrite et à porté impersonnelle.



Avoir compris la probabilité,
C'est d'avoir saisie à l'opposé,
De ce que désigne la certitude,
Et subordonné par l'exactitude.

Appréhender une loi de probabilité,
N'est ce point d'en étudier,
Les principes proprément dites,
Sur les phénomènes aléatoirement dites.

Imiter cette statistique,
En collaboration avec la mathématique,
Est avant tout, 
Contempler un comportement aléatoire,




D'une variable aléatoire,
En dimensions double.
Formalisé mathématiquement, 
Par une fonction dite: La densité,
En associement,
Avec un réel et des inconnues à paramétrer.




Laplace Gauss, sa loi de probabilité,
Reste comme même, la meilleure,
Car sans elle, pas d'autres lois des probabilités
Bon gré tous, c'est elle, la meilleure.
                       
                                                                                                                     
Abdi-Basid ADAN, "Lois des probabilités,"édition 2016




La courbe d'exponentielle en cloche  de Gauss:

Calculs d'ABJAD et JAFR


Calculs d'ABJAD et JAFR



Abjad est une science  basé  sur les valeurs numérologique des lettres arabes à travers le saint coran, plusieurs événements passé ont été prédit dans le Saint Coran, il s'agit de retrouver les temps des événements passé à travers des valeurs numérologiques des lettres

Jafr est une science consistant à prédire des événements futurs aussi. L'une des méthodes utilisées, il s'agit de comparer les formes symboliques et les valeurs numérologiques des lettres arabes dans le coran.
La principale différence entre "abjad" et "jafr" est que la première se réfère à ce qui a déjà eu lieu et la dernière à ce qui va probablement se passer dans le futur.

Le système de calcul d'abjad était utilisé des mathématiciens, mais aussi des savants religieux pour 
Par exemple, la phrase بسم الله الرحمن الرحيم (bi-smi-llaahi r-rahmaani r-rahiim = "Au nom d'Allah, le Miséricordieux, le Compatissant") correspond à une valeur de 786, en effectuant la somme des diverses valeurs de chacune des lettres de la phrase : 2 + 60 + 40 + 1 + 30 + 30 + 5 + 1 + 30 + 200 + 8 + 40 + 50 + 1 + 30 + 200 + 8 + 10 + 40) ... dans laquelle la valeur du mot "Allah" (Dieu) et 66.
Dans la Foi bahá'íe, le mot "splendeur" / Bahá' (بهاء) vaut 9 (2+0+5+1+1), le nom "porte" / Báb (باب) vaut 5 (2+1+2), le mot "unité" / Váḥid ( واحد ) vaut 19 (6+1+8+0+4) et le mot "totalité" / Kullu Shay' vaut 361 (20+0+30+0+0+300+0+10+1).
C'est en cherchant des indications numériques cachées dans certains mots, que les babis en arrivèrent à déduire que l'année 1260 ap.H. était bien celle où devait se manifester le Qá’im‎:
Calcul de Abjad: Cerner les dates du passées dans prédit depuis le 7ième siècles.



Table de Jafr: prédiction et estimation des événements futur

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